Mitchell et al. contend that there is no need to posit a contribution based on the formation of associative links to human learning. In order to sustain this argument, they have ignored evidence which is difficult to explain with propositional accounts; and they have mischaracterised the evidence they do cite by neglecting features of these experiments that contradict a propositional account.

1. Bd. Moralia Horatiana; das ist, Die horazische Sittenlehre, von P. von Zesen.--2. Bd. La doctrine des moeurs, tiree de la philosophie des stoiques, par M. Le R. de Gomberville.

Twenty-two Catholic periodicals were printed in Paris in February 1848 when the Orleanist king, Louis Philippe was overthrown and France became a republic. They are valuable but neglected resources which elucidate what Catholics thought and what their concerns were in 1848. While many Catholics retained legitimist or royalist sympathies, they welcomed the republic because of its promise of freedoms . This article examines how that Catholic periodical press was affected by and how it responded to the February revolution and the (...) proclamation of a new republic. The number of these periodicals suggests there was a Catholic revival in France during the July Monarchy and indicates that were divergent Catholic opinions about religious and political ideas. Il y avait vingt-deux périodiques catholiques à Paris en février 1848 quand le roi, Louis Philippe d’Orléans, fut renversé et que la France devint une république. Ces journaux sont des sources utiles mais négligées, ils révèlent ce que les catholiques pensaient et en quoi ils étaient affectés à la fin de la monarchie de juillet. Quoique beaucoup de catholiques aient conservé des sympathies pour les régimes royalistes ou légitimistes, ils acceptèrent la république parce qu’elle promettait des libertés . Le présent article étudie comment la presse catholique fut atteinte et comment elle réagit à la révolution de février et à la proclamation de la République. Le nombre de ces périodiques manifeste qu’il y eut une renaissance catholique en France durant la monarchie de juillet et révéle qu’il y avait des opinions catholiques divergentes en ce qui concerne les idées politiques et religieuses. Als der französische König, Ludwig Philipp von Orléans, im Februar 1848 abgesetzt und Frankreich zu einer Republik wurde, gab es in Paris 22 katholische Zeitschriften. Diese Zeitungen sind nützliche, jedoch vernachlässigte Quellen, denn sie offenbaren, was die Katholiken dachten und was sie am Ende der Julimonarchie berührte. Obwohl zahlreiche Katholiken weiterhin Sympathien für monarchistische und „legitimierte“ Regierungsformen hegten, akzeptierten sie die Republik, da sie Freiheiten versprach. Der vorliegende Artikel untersucht, wie die katholische Presse sich betroffen fühlte und wie sie auf die Februarrevolution und die Ausrufung der Republik reagierte. Die hohe Zahl der Zeitschriften zeugt von einer katholischen Wiedergeburt in Frankreich während der Julimonarchie und deutet darauf hin, dass die katholischen Meinungen im Hinblick auf die politischen und religiösen Ideen auseinander gingen. (shrink)

L'auteur distingue entre la vérité constatante et la vérité vécue. Ces deux vérités sont qualitativement distinctes, et elles sont des ennemies archanées, dès qu'elles se trouvent en présence l'une de l'autre. De nos jours elles se combattent sous les noms de rationalisme et antirationalisme. Pourtant elles peuvent sans aucun compromis se transformer en une synthèse. Et cette synthèse se réalise lorsque la vérité constatante aboutit à sa suprême subtilité: l'observation introspective d'idées à tendance universelle (cette observation s'exprime en définitions exactes) (...) et l'introspection du mouvement de ces idées (qui s'exprime en logique exacte). Cette ultime introspection est la tâche de la philosophie. Le sens véritable de la philosophie est donc d'invoquer logiquement l'intuition postlogique. Cette intuition succède nécessairement à la pure logique philosophique et révèle aussi la valeur universelle des idées logiques par une rétrospection clarifiaǹte. (shrink)

Il s'agit de l'édition d'un catalogue de 24 sceaux de plomb sélectionnés à partir d'une collection privée américaine. Cette collection contient aussi deux bullae byzantines en or inclues aux sceaux. Les deux critères de sélection employés ont été l'unicité et la rareté, qualités reconnaissables notamment pour le sceau n° 6 qui comporte une représentation du prophète Zacharie.

L' auteur distingue entre la philosophie comme attitude mentale et la philosophie comme science. La philosophie dans la première acception regarde, plus ou moins, tous les hommes. La philosophie scientifique est la pensée qui scrute méthodiquement le sens de l' Univers. Le mot "philosophie" indique une attitude mentale, mais ce mot n' est pas un nom qui pourrait désigner la science qu' est la philosophie. Jusqu' ici cette science, n' a pas de nom caractéristique. Car ce nom devrait indiquer le (...) sujet de cette science, comme le font p.e. géologie, anthropologie, psychologie. Une simple analogie logique nous incite à appeler la philosophie scientifique du nom de pantologie. Ce nom la défendrait peut-être contre le dilettantisme verbeux et les rêveries nébuleuses qui ne manquent pas dans la philosophie pour autant qu'elle est et qu'elle doit être l' affaire de tout être humain. (shrink)

Ce livre prend position sur les enjeux et les visées des oeuvres d'art en matière de vérité et de morale : il répond, par un retour sur l'époque des Lumières, aux questions contemporaines sur l'idée d'un perfectionnement moral de l'individu (S. Cavell, M. Nussbaum, S. Laugier). Car les Lumières ont remis au coeur de la création artistique les émotions, les affects et les sentiments, mues par la conviction de l'efficacité d'une éducation esthétique de l'homme, d'une éducation sensible par le sensible, (...) en l'occurrence par les oeuvres. La vérité a-t-elle un sens en matière artistique? Notre besoin d'art est-il lié à notre conviction qu'elles nous rendent meilleurs et nous font mieux connaître le monde? L'autonomie de l'oeuvre, la liberté du créateur, la dévaluation de tout canon au nom d'un global turn qui contraint au relativisme rendent aujourd'hui difficile l'affirmation d'une vérité. (shrink)

I. Prosopographie délienne et épitaphes : l'identification de diverses personnes, proposée par M.-Fr. BasLez dans son étude sur les cultes orientaux à Délos, est fragile, car elles portent des noms très banals. Il faut noter que le corpus publié des stèles funéraires de Délos ne comprend qu'une très faible proportion (l/10e?) des monuments de la nécropole. II. Affranchis d'après les inscriptions de Délos et de Rhénée : corrections et ajouts divers à l'étude de G. Fabre sur les patrons et les (...) affranchis à la fin de la République. Le peu de rigueur avec laquelle les règles de l'onomastique romaine sont appliquées dans les épitaphes rend délicate l'identification du statut de plusieurs défunts. III. Stèles errantes : publication d'une stèle inédite de Délos et de photos de stèles à Avignon, Trieste et Naples. (shrink)

This volume provides a balanced set of reviews which introduce the central topics in the philosophy of time. This is the first introductory anthology on the subject to appear for many years; the contributors are distinguished, and two of the essays are specially written for this collection. In their introduction, the editors summarize the background to the debate, and show the relevance of issues in the philosophy of time for other branches of philosophy and for science. Contributors include J.M.E. McTaggart, (...) Arthur N. Prior, D.H. Mellor, Sydney Shoemaker, Graeme Forbes, Lawrence Sklar, Michael Dummett, David Lewis, W.H. Newton-Smith, and Anthony Quinton. (shrink)

Proposant quelques réflexions suggérées par 1a Lettre de 1896 sur fond de questionnement contemporain , J.-M. Aveline examine d'abord le rapport entre théologie chrétienne et dialogue interreligieux, et l'évolution de la toute récente théologie des religions depuis Vatican II. L'intérêt de la relecture de Blondel dans cette perspective est d'abord de prévenir les facilités, impasses et illusions dans lesquelles la vieille apologétique s'était enferrée, et de donner les conditions d'un véritable dialogue. Pour dépasser les limites d’un pluralisme conçu comme simple (...) juxtaposition tolérante des opinions privées, la reprise de la thématique de la vérité est capitale, en quoi le maître d’Aix s’avère d’autant plus pertinent qu'il permet de poser philosophiquement le problème religieux. Permettant du même coup de tenir avec rigueur la distinction entre immanentisme exclusiviste et transcendance qui procure le salut, Blondel établit de manière féconde la distinction et le rapport entre philosophie et théologie. Proposing some reflections suggested by the Lettre of 1896 on the background of contemporaneous questions , J.-M. Aveline first examines the relationship between Christian theology and interreligious dialogue, and the evolution of the very recent theology since Vatican II. The interest in rereading Blondel in this perspective is first to point out the simplicity, the dead ends, and the illusions to which the old apologetics was bound, and to give the conditions for a true dialogue. To go beyond the limits of a pluralism understood as a simple juxtaposition that is tolerant of private opinions, the return to the theme of truth is capital, about which the master of Aix shows himself all the ore pertinent by posing the religions problem philosophically. While holding rigorously the distinction between exclusive immanentism and a transcendence that brings salvation, Blondel establishes, in a fertile way, the distinction and relationship between philosophy and theology. (shrink)

I am very grateful to Natalja, Jacob and Sebastian for their kind attention to my paper, and for their many insights on this topic, which have materially helped me get clearer about some of the issues. All the points of disagreement are constructive and it has been both a pleasure and an education to engage with them. I’m also happy to note some points of agreement, too! Here I attempt to reply to some of the objections.

It is found that a coherent state of the cavity field can be generated in a micromaser with injected atoms in a coherent superposition of the upper and lower states. The dependence of the density matrix elements of the field on the number of injected atoms indicates that due to the same initial atomic coherence the emission of separately injected single atoms in the cavity is a cooperative process.